Thomas MARET

Thomas MARET

Biologie évolutive, Génétique quantitative de la recombinaison méiotique

     
  • Évolution, microbiologie, génétique quantitative, levure, biologie moléculaire

 INRAE, Ingénieur d'études

 thomas.maret@inrae.fr —   0652399546 —  1215


 Biologie de l'Adaptation et Systèmes en Évolution

 Publications 

  • Génétique Quantitative et Évolution - Le Moulon
  • Université Paris-Saclay, INRAE, CNRS, AgroParisTech
  • IDEEV
  • 12 route 128
  • 91190 Gif-sur-Yvette

Postes et formation

  • 2024 - … : Ingénieur d’études, CDD à GQE-Le Moulon, équipe BASE
  • 2023 : M2 Sciences et Technologies de l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - parcours Biologie et Biotechnologies Environnementales
    • Janvier - Juin 2023 : Stage recherche INRAe, Avignon. Implication des gènes PGKs dans la résistance récessive aux virus chez Arabidopsis thaliana.
  • 2022 : M1 Sciences et Technologies de l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - parcours Biologie et Biotechnologies Environnementales
    • Avril - Juin 2022 : Stage recherche CNRS, Grenoble. Biolixiviation de déchets miniers en condition acide.
  • 2018 - 2021 : Licence Biotechnologies Santé
    • Juin - Juillet 2021 : Stage technique, Meyrargues. Développement durable et recommandations sur une pompe à eau.

Intérêts de recherche

Avec le projet EVOLREC, je m’intéresse à la compréhension de la manière dont les organismes vivants réagissent et s’adaptent grâce à la recombinaison méiotique. Le nombre et la position des crossovers sont fortement régulés, mais les mécanismes sous-jacents sont encore mal connus. Les crossovers peuvent influencer la vitesse d’évolution via l’utilisation de la diversité existante, et le processus d’adaptation peut indirectement faire évoluer le nombre de crossovers. En utilisant l’espèce modèle S. cerevisiae, nous proposons d‘identifier des facteurs génétiques qui déterminent le nombre et de distribution des crossovers. Plus précisement, ma contribution au projet est la validation fonctionnelle de gènes candidats. Les deux approches retenues sont le remplacement allélique et la surexpression, avec caractérisation du phénotype. Plus largement, je m’intéresse à la recherche en biologie moléculaire, microbiologie, biologie végétale, et environnementale.